News letter mai juin 2011







 
Vendredi 29 avril : Papanosh au Chat Vert à Rouen (entrée libre)

 Samedi 30 avril : Papanosh au GUT à Hanovre en     Allemagne (avec le soutien de la Ville de Rouen) 

Les 2 et 3 mai : Papanosh dans les rues de Bruxelles

Mercredi 4 mai : Papanosh à Liège
Dimanche 22 mai : "Viva Mexico a pesar de todo" au Marché Place Saint-Marc à Rouen, de 11h30 à 13h (dans le cadre des Rendez-vous du marché du Printemps de Rouen). Un quintet inédit : R. Quenehen (sax.), F. Fourneyron (tromb.), J-F Riffaud (guit.), Th. Cellier (cb), J. Piazza (batt.).

Mardi 31 mai : Syntax Error à l'Espace B/Paris

Jeudi 1er juin : Syntax Error à l'Autre Café/Lac de la Roche qui Boit (50)

Vendredi 3 juin : Syntax Error à Caen (lieu à définir)

Samedi 4 juin :  Le Gros Bal dans les Jardins de l'Hôtel de Ville de Rouen pour la clôture de festival "Le Printemps de Rouen"

Samedi 18 juin : Le Gros Bal à Mont-Saint-Aignan

Samedi 25 juin : Le Gros Bal au Festival Vivacité de Sotteville-les-Rouen

 

et les amis :  

Vendredi 13 mai : OK à La Maison Populaire de Montreuil

Samedi 14 mai : OK au 3 pièces, Rouen

Jeudi 19 mai : OK au Black Label Café à Brest 

Vendredi 20 mai Oui Monsieur dans les Jardins de l'Hôtel de Ville à 19 h dans le cadre du Festival "Le Printemps de Rouen"

Vendredi 27 mai : OK Le Bus Palladium, Paris

Vendredi 27 mai : La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr "Duke et Thelonious", Grange Dimière à Fresnes.

Vendredi 27 mai et samedi 28 mai : Suivez les Pointillés... 
Création d'Antoine Berland, sur des textes originaux d'Albert Marcoeur, pour 2 solistes et choeur, avec Clémentine Bourgoin (soprano), Margot Mellouli (mezzo) et l'ensemble vocal du CRR de Rouen.
A l'abbatiale Saint-Ouen de Rouen, à 20h30 (entrée libre)
dans le cadre du Festival "Le Printemps de Rouen" 

Jeudi 29 mai : Kumquat + HSH à l'Almendra/Rouen.

Jeudi 29 mai : Les chiens huilés "Tribute to Fela Kuti", Foligno, Italie.

Vendredi 3 juin : Antoine Berland joue avec "l'ONJ de Daniel Yvinec", projet "Shut up and dance", musique de John Hollenbeck, à 18h au Festival Jazz sous les pommiers à Coutances.

Samedi 11 juin : The Serge Gainsbourg Experience, Festival du Panier, Marseille.

Jeudi 16 juin : A. Tri Hoang, R. Clerc-Renaud, E. Duris, Th. Cellier, au Chat Vert à Rouen.

Jeudi 23 juin : OK à L'International, Paris 



Sortie d'un nouveau disque de Syntax Error




300 exemplaires tous différents ! 
vivent les autocollants !
disponible : Fnac de Rouen ou contact@lesvibrantsdefricheurs.fr

Gros Bal du 4 juin


PROCHAIN RENDEZ VOUS DU GROS BAL 
18 JUIN A MONT SAINT AIGNAN

Ce qui fait vibrer les Vibrants

Publié le vendredi 03 juin 2011 à 07H35
FINAL. Le Gros bal va faire swinguer les Rouennais samedi. Avant d'entrer dans la danse, entretien avec les musiciens.
Le gros bal attire chaque année des centaines de danseurs
Le gros bal attire chaque année des centaines de danseurs
Bouquet final du Printemps de Rouen depuis trois ans, le Gros bal des Vibrants défricheurs est un mélange jouissif et ininterrompu de valse, de paso-doble, de java, de bourrée et de rythmes effrénés, servis par des musiciens voraces de tous les styles et tous les genres. Mais au fond, qu'est-ce qui les fait vibrer ces Vibrants? Interview à quatre voix avec Antoine Berland, le chef d'orchestre, Anne-Laure Poulain, chanteuse, Raphaël Quenehen, saxophoniste, et Jérémie Piazza, batteur.

Quels sont les premiers pas de danse que vous avez appris?
Anne-Laure. «Le pas chassé. Je faisais de la danse classique et rythmique quand j'étais petite.»
Jérémie. «La valse, certainement…»
Antoine. «Le rigodon, une danse traditionnelle qu'on a apprise au festival «Mens alors!» [à Mens, dans l'Isère NDLR].»

Quelle danse rêveriez-vous d'apprendre?
Anne-Laure. «Le flamenco. Cette danse dégage une énergie qui me fascine.»
Raphaël. «Moi j'adorerais apprendre la samba. Mais c'est hyper technique et comme j'ai les hanches coincées dans un bloc de béton…»
Jérémie. «Le tango. Mais j'ai encore jamais pris le temps.»

La musique que vous ne vous lasserez jamais de jouer?
Raphaël. «On the Sunny side of the street. C'est le morceau qui m'a bercé quand j'ai commencé à jouer du sax. Je le jouerai encore à 60ans.»
Anne-Laure. «Les chansons françaises des années 50 comme Maintenant que la jeunesse, écrite par Louis Aragon. D'ailleurs, pendant le Gros bal, samedi, j'immisce ces paroles dans un rap que les garçons ont composé.»
Jérémie. «Je ne me lasserai jamais de jouer tout court!»

La musique qui vous donne envie de bouger?
Anne-Laure. «Je bouge sur toutes les musiques! Mais je ne peux pas résister au Charleston.»
Raphaël. «Le forro, ça vient du nord-est brésilien. Il y en a dans le Gros bal.»
Jérémie. «Le maloya, une musique traditionnelle de l'île de la Réunion.»
Antoine. «Il n'y a pas spécialement de musique qui me donne envie de bouger… Mais il y en a plein qui me donnent envie de faire bouger les autres!»

Gros bal demain soir à partir de 19h 30 dans les jardins de l'hôtel de ville. Entrée libre.
Propos recueillis par C.B. 








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Eau rage, eau désespoir

Paris Normandie lundi 06 juin 2011 
INTEMPERIES.
              L'orage a contraint les organisateurs a annuler le Gros bal, point final du Printemps de Rouen.


                Sous les arbres, surpris par l'orage, les plus courageux espèrent encore pouvoir faire la fête


Cela devait être la note finale au printemps de Rouen. Mais pour sa deuxième édition, le Gros Bal organisé dans les jardins de l'Hôtel de Ville a pris l'eau. La pluie attendue depuis des semaines, a joué l'invitée surprise en perturbant la manifestation qui devait clore deux mois de spectacles et de manifestations en tout genre.

19 h 15. Au stand de la rôtisserie des 3 rivières, ce n'est pas vraiment le coup de feu. Le ciel est menaçant, la pluie tombe et le personnel s'est mis à l'abri sous un auvent. « On a prévu pour deux cents ou trois cents personnes. On va arrêter de cuire. Les chapiteaux sont ouverts pour que les gens restent à l'abri. De toute manière, on va servir jusqu'à la fin », regrette Gérard Vittecoq, l'un des employés.

A 20 h 30, la décision tombe
Dans les jardins de l'Hôtel de Ville, les courageux ne sont pas nombreux à avoir tenté de braver l'orage. La priorité en ce début de soirée est de rester au sec. Et chacun sa méthode. Les prévoyants avec parapluie et ciré. Et les pris au dépourvu qui se regroupent sous les bosquets ou dans les galeries restées ouvertes de la mairie. « On attend que ça démarre et que les serpillières arrivent. Nous avons fait 30 kilomètres pour venir ici ! », plaisante Marie-Sylvie, venue avec un groupe d'amis.
Sur les tables désertes et la piste de danse détrempée, le ballet des raclettes s'active pour évacuer l'eau.
 En coulisse, les douze musiciens des Vibrants Défricheurs sont tendus mais l'optimisme règne. « On espère qu'on va pouvoir jouer. Ce serait dommage d'avoir organisé tout ça pour rien. On risque un peu l'annulation », prophétise Jérémie Piazza, le batteur du groupe.
20 h 30. La décision tombe. Le Gros bal est finalement annulé. Mais cela ne douche pas l'enthousiasme des participants et des Vibrants Défricheurs. A 21h, la pluie a cessé et une éclaircie troue le ciel métallique. Les musiciens improvisent alors un concert acoustique au pied de la mairie. La soirée peut enfin commencer…

http://www.paris-normandie.fr/ article/autres-actus/eau-rage- eau-desespoir









et pour les mexicains du marché :

Le Printemps de Rouen - Les vibrants défricheurs.

Paris Normandie le 5 juin, 2011 
Place du marché Saint-Marc à Rouen.